Dans le cadre de ses activités, les entreprises sont appelées à réaliser des achats. Par ailleurs, pour mieux bénéficier des avantages, il est important de cerner les aspects qui entourent et caractérisent les achats au sein des entreprises. Car, il existe plusieurs types d’achats. Parmi eux, on trouve les achats directs et indirects. Découvrez à la suite de cet article, comment faire l’organisation de ces achats.
Qu’est-ce qu’un achat direct ?
Un achat direct est celui qui est réalisé lors de l’approvisionnement des matières premières. Dans ce cadre, l’approvisionnement est effectué dans le cadre des fabrications de produits. L’achat direct est réalisé sur une longue période avec une quantité de produits évolutive. Ce type d’achat se fait auprès de fournisseurs de confiance qui disposent des produits de qualité.
Dans une société, les achats directs sont réglementés par une organisation spécialisée. C’est cette organisation qui s’occupe de l’étude des informations relatives à cet achat. La mise à disposition d’une telle équipe procure assez d’avantages. L’un des plus importants est la quantification des coûts. Et ce, qu’importe la classe à laquelle appartient le produit.
Achats indirects : classification
À la différence des achats directs, ceux indirects sont réalisés dans le but d’assurer la bonne marche des activités de l’entreprise. Encore appelés achats hors production, les achats indirects concernent les approvisionnements utilisés dans le quotidien de chaque organisation. Ceux-ci ne font pas partie du processus de production. Les dépenses indirectes sont donc stratégiques. Ce sont par exemple l’achat des articles de bureau, des appareils et au paiement des prestations de services. Elles ont pour fonction d’offrir un meilleur cadre de travail aux employés de l’entreprise. Par ailleurs, une mauvaise gestion de ces dépenses peut entraîner sur le long terme un déséquilibre financier. L’idéal serait d’opter pour la digitalisation des achats indirects sur le procure-to-pay.
Organisation des achats
Si la différence entre les achats directs et indirects semble évidente à première vue, il en est autrement dans la mise en place de politique sectorielle. Pour distinguer les achats, il faudrait se concentrer sur les relations entre acheteurs et fournisseurs. La création et le maintien des relations avec les fournisseurs demande beaucoup d’efforts à la direction chargée de la gestion des achats directs. Par contre, avec les achats indirects, le point est mis sur les dépenses au lieu de la nature des relations entre l’acheteur et ses fournisseurs. Il s’agit ici de s’appesantir sur les données transactionnelles. Car le but visé est de réduire significativement les coûts. L’organisation des achats se constate également dans les données de stockage. Les achats directs sont réalisés régulièrement alors que les indirects sont sur demande.
L’externalisation des achats
Pour les organes ne disposant pas d’informations précises dans le processus des achats, elles peuvent recourir à la méthode d’externalisation. Car l’objectif est avant tout de réduire les coûts dans le processus d’exploitation des ressources de l’entreprise. À cet effet, les organisations peuvent solliciter l’expertise des fournisseurs de produits ou de services. Cela permettra d’améliorer le processus d’exploitation des ressources de l’acheteur.
L’externalisation peut avoir des conséquences sauvages. C’est pour cette raison que plusieurs acheteurs optent plutôt pour une fonction d’approvisionnement stratégique.